Dans ce combat salutaire pour le vivant, tout est lié.
Car si nous n’obtenons pas l’accès aux négociations secrètes du SCoPAFF, les lobbys pourront continuer à convaincre ses membres de privilégier leurs intérêts financiers à la survie des abeilles et des pollinisateurs.
Mais si nous braquons les projecteurs sur le SCoPAFF, quels représentants oseraient défendre publiquement l’extermination des abeilles et des pollinisateurs par les pesticides ?
C’est pour cela que nous nous battons, en votre nom, et que nous continuerons de nous battre à Bruxelles face aux lobbys, avec la force que toutes les citoyennes et tous les citoyens engagés nous donneront aujourd’hui.
Pouvons nous compter sur votre soutien ?